Plus de 180% d’augmentation de la testostérone avec de la taurine ?

La taurine ne présente aucun rapport avec le taureau

Image 1: Non, la taurine n’est pas faite à partir du sperme de Belgian Blues et vous ne ressemblerez pas à un taureau du jour au lendemain, non plus ;-)

Cet article de SuppVersity – que j’aurais voulu traduire bien avant – commente l’un de mes compléments favoris pendant l’entraînement, c’est la taurine. Les références bibliographiques sont à consulter sur le site original (lien donné en fin d’article) pour des raisons évidentes de duplicate content. A vrai dire, vous connaissez déjà ces données puisque j’avais traduit un des articles qui en parle sur Ergo-log précédemment. L’article de la SuppVersity est cependant plus complet.

Eric Mallet

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Comprendre la croissance musculaire: Est-ce que la testostérone seule construit du muscle ?

Nous voici déjà arrivé au sixième article de la série « Comprendre la croissance musculaire » de la SuppVersity d’Adel Moussa. Ici, nous entrons dans le vif du sujet, du moins pour ceux qui pensent que la croissance musculaire se résume plus ou moins au taux de testostérone que leur organisme peut produire ou supporter. Les trois traductions d’articles suivants prouveront surtout que la réalité est (un brin !) plus complexe que ce raccourci (très large) de pensée.

Eric Mallet

Testostérone et relation avec la croissance musculaire

Image 1: En tant que chercheur « sérieux », il serait préférable de ne pas utiliser les mots « testostérone » et « muscles » sans « anti-doping », « hypogonadisme » ou « sarcopénie » dans un de vos articles si vous ne voulez pas mettre votre carrière en jeu.

Dans les épisodes précédents de la série d’articles « Comprendre la Croissance Musculaire », nous avions parlé de choses très intéressantes telles que les mTOR, la myostatine, les variantes d’épissage de l’IGF et de sujets encore plus exotiques. La testostérone, le « Big T » – le supposé plus important contributeur à l’hypertrophie du muscle squelettique, a jusqu’ici été « négligé » – dépendait-il du principe de garder le meilleur pour la fin quant à l’influence de la testostérone sur le renforcement musculaire comme développé sur le premier article ? Était-ce l’ignorance ? De la stupidité ? Ou est-ce que je voulais commencer la nouvelle année avec un Big Tang… ah désolé « bang » ? La réponse est simple, c’est que j’en éprouvais tout simplement une crainte.

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Comprendre la croissance musculaire: IGF-1, TNF-α, IL-15 & Co. et leur rôle émergeant sur l’axe auto-immune/endocrinien dans l’hypertrophie du muscle squelettique

Inflammation un processus nécessaire à la croissance musculaire

Le mot «inflammation» déclenche des associations d’idées qui empêchent une compréhension appropriée de la complexité de la réponse immunitaire «inflammatoire» qui est d’une importance vitale pour reconstruire le tissu musculaire.

Juste pour m’assurer que je ne vais pas vous diriger sur une autre digression, encore une fois, je vais reprendre de suite où je vous ai laissé dans le dernier opus des réflexions sur la « croissance musculaire » car je vous avais promis d’examiner de plus près la relation complexe entre l’inflammation induite par l’exercice et l’élévation du facteur de croissance analogue à l’insuline (IGF-1) spécifique au muscle avec ses variantes d’épissage dont le facteur de croissance mécanique 1 (MGF-1). Avant que nous regardions comment l’un influence l’autre, nous devrons déjà établir une compréhension cohérente du phénomène de «l’inflammation». Bien qu’il soit sur toutes les lèvres, celui-ci est généralement mal compris et/ou confondu avec «l’oxydation». C’est un peu comme pour l’oxydation des substances «inflammables» que vous avez très souvent rencontré sous la forme de l’image (concrète ou imagée) du feu ou de la rouille.

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Caféine & créatine – Synergiques et non antagonistes !? Réponse: La caféine potentialise les effets de la créatine sur la force (+68%)

Caféine et créatine sont-ils compatibles ?On a d’abord postulé pour une incompatibilité entre la caféine et la créatine en pensant raisonner logiquement pour dire que si vous augmentez le recrutement des substrats énergétiques (glycogénolyse avec l’AMP cyclique et AMPK pour l’oxydation des acides gras), il serait dès lors beaucoup plus difficile de compter sur le turnover ADP/phosphocréatine. Cependant, la logique et le bon sens ne prennent pas toujours suffisamment de facteurs en compte et ce qui nous semble aller de soi ne résiste pas toujours à l’épreuve des faits, surtout lorsque les vérifications sur le plan clinique les contredisent. Après une première étude qui semblait suivre les principes de base de la chimie cellulaire, cette nouvelle étude clinique vient contredire ces principes qui nous semblent tellement évidents. Là dessus, je vous laisse avec l’article de la Suppversity (lien vers l’article original en bas de page).

Eric Mallet

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Whey hydrolysée en peri-workout: Testée et approuvée sur la croissance musculaire

Cet article du 22 mai 2013 de la SuppVersity fait le point sur l’intérêt de l’hydrolysat de lactosérum sur la performance et la croissance musculaires. Comme le souligne Adel Moussa, un hydrolysat de lactosérum (Whey hydrolysée) aurait encore d’autres avantages que de participer à la croissance des muscles entraînés. Cependant, cela ne retire rien à la qualité d’une protéine de caséine hydrolysée telle que Peptopro par exemple.

Eric Mallet

La whey hydrolysée va t-elle également renforcer les tendons ?

Un exercice comme le squat nécessite autant des muscles forts que des tendons solides

D’une certaine manière, vous pourriez soutenir que l’article de SuppVersity d’aujourd’hui a deux objectifs. Tout d’abord, il fournit des preuves directes de ma prétention scandaleuse à affirmer que l’étude Shotgun + Synthesize de VPX n’a que peu ou pas de valeur pratique, car l’utilisation de 2 x 17 grammes de maltodextrine en tant que contrôle a peu à voir avec le monde réel de la supplémentation et de ses consommateurs potentiels. En effet, vous pourriez supposer que ceux qui sont prêts à dépenser de l’argent pour des suppléments de péri-entraînement coûteux seront – tout comme la plupart d’entre vous – prêt à prendre une source de protéines de lactosérum (ou d’autres protéines à action rapide) après leurs séances d’entraînement.

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Comprendre la croissance musculaire: IGF-1 et ses variantes épissées MGF, IGF-IEa & Co – Des régulateurs majeurs ou de simples rouages du mécanisme de l’hypertrophie musculaire ?

Nous entrons ici dans le vif du sujet après avoir lu l’introduction de la SuppVersity en trois parties. Cette fois-ci, Adel Moussa nous apporte un peu plus d’informations, notamment sur l’IGF-1 et les épissages de ce facteur de croissance comme le MGF et les autres. Sont-ils véritablement les déclencheurs de l’hypertrophie ou ne seraient-ils finalement « que » des éléments essentiels à la croissance parmi d’autres ? Pour ceux qui n’auraient pas suivi cette première série d’articles, référez-vous à la Partie I, la Partie II et la Partie III de l’article Comprendre la croissance musculaire.

Eric Mallet

Le MGF (Mechanical Growth Factor) est une variante de l'epissage de l'IGF-1

Image 1: Sur l’IGF-1 et ses variantes issues de l’épissage comme le MGF, il existe sans doute 100 fois plus de « Bro-science » que de données scientifiques solides – ça ne va pas vraiment nous aider car nous ne savons jamais dire si toute cette science de comptoir se repose vraiment sur des données vérifiables ou non.

Compte tenu du fait que nous n’avons pas couvert beaucoup de terrain au cours du dernier article (mais nous avons sans doute construit une base assez solide toutefois ;-), je vais essayer de faire de mon mieux pour orienter un cours intermédiaire entre la présentation d’une quantité impressionnante de faits et de vous expliquer la complexité et les bases physiologiques de l’hypertrophie du muscle squelettique qui, en partie ne sont même pas complètement élucidés ou, comme vos partenaires de salle le dirait, de devenir massif et volumineux ! A ce propos, vous aurez sans aucun doute lu sur l’une des myriades de bavardages des forums et autres bulletins du bodybuilding que – l’injection de X quantités d’IGF-1 droit dans le muscle vous donnera des bras énormes ou quel que soit le pseudonyme de l’affiche, « que vous allez gagner 8 à 9 centimètres en 2 semaines »… Ok, la photo de profil semble impressionnante, mais est-ce vraiment crédible ? L’IGF-1 a-t-elle vraiment de tels effets sur la croissance musculaire ? Et de quel type de croissance parlons-nous ici ? S’agit-il d’une « montée en flèche » des facteurs de myostatine négatifs du muscle, ce qui vous laisserait avec des domaines myogéniques surdimensionnés et des muscles dysfonctionnels ? Note EM: Autrement dit, comment avoir des bras de 60 cm de diamètre pour faire des curls barre à 40 kg ?!

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L’effet myogénique et bloqueur de la myostatine de l’épicathéchine: le Cacao et le thé contiennent un anabolisant bien connu mais négligé

Cet article du blog américain SuppVersity revient sur l’effet anti-myostatine désormais acquis du cacao et du thé grâce à un flavone nommé épicatéchine. Je vous propose de lire cet article très intéressant et qui, de surcroît, relativise sagement le fossé qui se creuse entre la théorie et la pratique…

Eric Mallet

Epicatéchine et myostatine

Un flavonol extrait du « vrai » chocolat pourra t-il vous aider à construire du muscle tout en réduisant votre taux de graisse ?

Si vous êtes comme moi, vous utilisez probablement le cacao pour construire du muscle. Si les effets de la barre de chocolat noire occasionnelle sont si profonds que vous puissiez le voir quand vous l’oubliez, ceci est toutefois discutable. Même s’il faudra manquer de respect envers les derniers résultats d’expérience obtenus par Gabriela GutierrezSalmean et ses collègues de lUniversité de Californie, VA San Diego Health Systems et de lEscuela Superior de Medicina del Instituto Politécnico Nacional à la Seccion de Posgrado de Mexico. Ces résultats sont présentés dans un document publié dans Le Journal of Nutrition Biochemistry (GutierrezSalmean. 2013), dautre part

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