Article SuppVersity Spécial Olympia: Bodybuilder maniaque ou passioné, Monstre ou « extra – ordinaire », quelle est la véritable nature du bodybuilder ? Plus: Rapport Cortisol & réponse immune d’un entraînement du matin ou du soir

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Bodybuilding passion et image du sportifNote EM: J’aime bien cet article du Dr Andro même s’il ne va pas assez loin dans sa réflexion personnelle mais il me rappelle les deux articles que j’avais précédemment écrits sur une ébauche psychanalytique de mon sport et de la figure du bodybuilder. Le premier de ces deux articles sert de brève introduction au sujet alors que le second développe un peu plus mais sans vraiment rentrer dans les détails d’un thème qui pourrait occuper un livre ou représenter un sujet de thèse. La difficulté à traduire l’auteur est toujours aussi présente, même si son anglais est correct. Par contre, les fautes de grammaire ou de frappes et le style particulier d’un allemand qui écrit en anglais contribuent à ajouter à la difficulté de l’exercice.

Pour l’instant, je vous laisse avec l’article du Dr Andro…

C’est le week-end d’Olympia, le moment est venu pour une publication spéciale… du moins c’est ce que je pensais, quand je me suis assis en face de l’ordinateur il y a quelques minutes. Le seul problème qui se pose, c’est que le bodybuilding est un peu un « no man ‘s land scientifique ». Si nous laissons de côté le formidable article du Dr Lindy Rossow qui a finalement été officiellement publié il y a de cela quelques semaines (NdT: traduction à venir). Dans une interview que j’ai récemment fait avec elle, Lindy m’a dit que le manque d’informations fiables est un problème particulier en raison du « vaste monde de la science informelle des bodybuilders eux-mêmes » sur Internet, qui génère un « monde de désinformation et de rumeurs « tandis que la grande majorité des articles scientifiques que vous trouverez sur PubMed et les bases de données scientifiques pertinentes se focalisent sur les conséquences négatives qui apparaissent généralement pour les culturistes qui utilisent de grandes quantités de substances illicites. » (Rossow, entretien inédit).

Bodybuilders et scientifiques…

Les scientifiques «moyens» (quels qu’ils ou elles puissent être) soutiennent probablement un plus grand nombre de préjugés sur le bodybuilder « moyen » que ce dernier ne pourra faire face au quotidien.

Variation du poids de corps avant et après une compétition de bodybuilding

Tableau 1: Variations du poids de corps en fonction des 6 mois de pré et post-compétition selon le Dr. Chris Fahs, sujet et co-auteur de l’étude du Dr. Rossow sur le bodybuilding naturel.

Ce qui est assez ironique, cependant, c’est que la même chose est vraie dans l’autre sens. J’irais même jusqu’à dire que le scientifique moyen peut avoir une meilleure idée de ce qu’un bodybuilder fait que l’inverse. Franchement, avouons-le: Pouvez-vous me dire ce que des gars et filles prétendument intelligents de l’université font toute la journée ? Croyez-moi, je suis l’un d’entre eux et je peux vous dire que ce n’est pas du tout ce que je vois dans les yeux des gens, quand je leur dis que je travaille à l’Université ;-)

Revenons à nos moutons… (et à la musculation)

Malgré le fait que ce que j’ai écrit est bien considéré et que de nombreux scientifiques comparent le bodybuilding à un sport de monstres un peu décalés, il existe pourtant plusieurs recherches intéressantes sur notre sujet. Malheureusement, j’ai déjà couvert un grand nombre de ces études, il n’était donc pas vraiment facile de trouver une étude récente qui ne ferait pas simplement que répéter le mythe du maniaque qui abuse de substances dont les scientifiques pensent évidemment qu’il mériterait l’internement d’urgence et qui fait de lui l’objet d’une étude clinique.

Après quelques recherches, j’ai finalement repéré deux (ou trois en fait) études des plus intéressantes pour notre SuppVersity Spécial Olympia :

# L’étude n°1 qui traite de l’entraînement spécifique du culturisme et la question de savoir s’il existe des différences pertinentes entre un entraînement du matin et du soir. Ce n’est pas une question nouvelle mais elle n’a pas été abordée dans un contexte spécifique de musculation avec des sujets non obèses, non âgées, non-diabétiques et non-sédentaires, des cas qui font toujours l’objet d’études pour le « scientifique moyen » dont nous parlions.

# L’étude n°2, en revanche, traite avec l’image déformée du bodybuilder de compétition. L’approche qu’on adopté les scientifiques est encore très différente de l’habituel « il s’agit d’un questionnaire, assurez-vous de répondre à la fois à la question sur la toxicomanie et les effets secondaires négatifs avec ‘Oui’, ok, protocoles… »

Science du culturisme: S’entrainer le matin ou l’après-midi ?

Dans une série de deux articles, Majid Mousavizadeh et ses collègues de l’Université Azad et de l’Université Razi à Borujerd et Kermansha en Iran, ont observé que les bodybuilders qui voulait minimiser leurs niveaux de cortisol avant, pendant et après une séance d’entraînement feraient mieux de s’entraîner dans l’après-midi (16:00).

Variation du taux de cortisol selon l'heure d'entrainement

Tableau 2: Il est facile de voir que les deux niveaux de cortisol avant et après, ainsi que l’augmentation relative du taux de cortisol étaient beaucoup plus faibles, lorsque les 10 bodybuilders ont effectué leur séance d’entraînement à 16 heures au lieu de 8 (Mousavizadeh. 2012)

Je suppose qu’il ne faut pas être un génie pour affirmer qu’après avoir regardé les données du tableau 2, on constate que les niveaux de cortisol de base sont trois fois plus élevés au matin avec une augmentation dix fois plus forte de cortisol pendant l’entraînement matinal.

Compte tenu des résultats d’une étude de West et al. à partir de 2011, il est cependant douteux que cette diminution de la réponse du cortisol soit conforme aux résultats de Bird et al. présentés en 2004, déjà. Après tout, la figure 2 qui est basé sur les résultats de l’étude de West et al. a été initialement publié dans l’article « Force, Cardio ou les deux? » et indique que l’augmentation du taux de cortisol, pas ceux de la testostérone, de l’IGF-1 ou de l’hormone de croissance sont le meilleur – et le seul – des indicateurs valables de gains de masse maigre.

Du point de vue immunitaire, au moins, il n’y a pas de différence, de toute façon: En 2013, des collègues de Mousavizadeh et al. ont mené une étude de 12 semaines au cours de laquelle la moitié de trente sujets de sexe masculin (âgés de 18 à 25 ans) qui se sont entraîné le matin ou l’après-midi se sont retrouvé avec des niveaux identiques de monocytes, lymphocytes et éosinophiles dans le sang (Sani . 2012).

Étude n°2: Les bodybuilders seraient stigmatisés, la science peut le prouver

Frank Zane, un des premiers Mr OlympiaMaintenant, ceux qui s’inquiètent de savoir si cela peut faire une différence de s’entraîner au matin à la place de l’après midi devraient surtout se poser la question de savoir comment quelqu’un qui se soucie de ces processus physiologiques complexes peut être assimilé une espèce de monstre stupide, non ? Pourtant, la plupart d’entre vous n’ont probablement pas cru ce que j’ai écris dans l’introduction, n’est-ce pas ? Je veux dire « tout le monde sait » que les culturistes sont stigmatisés dans cette société. Ils sont suspects pour les gens dits «normaux» en raison de leur apparence distinctive et – bien sûr – pour leur abus de substances améliorant la performance.

Or, ces préjugés sont le véritable sujet d’un document écrit par Jone Bjørnestad, Øyvind Kandal et Norman Anderssen qui a été publié il y a quelques semaines dans la version en ligne du Journal of Health Psychology. Son titre est « Disciplines vulnérables: Les expériences des bodybuilders masculins de compétition». Il s’agit (surprise !) non pas d’une de ces simples études « Nous avons demandé aux visiteurs d’un gymnase norvégien… » mais une analyse assez détaillée, principalement basée sur des entretiens longs et fastidieux avec des bodybuilders de compétition qui ont dit aux scientifiques des choses dans ce genre:

« Ce qui est important avec le culturisme, pour ceux qui s’entraînent correctement, c’est que vous devez travailler dur, vous devez être discipliné, il faut être régulier, constant… Ces qualités se transfèrent sur d’autres aspects de la vie parce que vous apprenez à organiser vos priorités, vous apprenez à vous concentrer, à faire avancer les choses, vous êtes en mesure de faire abstraction de tout le reste. C’est un effet très, très positif. Quand vous faites du bodybuilding, vous apprenez à évaluer vos ambitions, à vous concentrer et à atteindre vos objectifs. (Blade) »

Je crois que Blade, un des sujets de cette étude de l’Université de Bergen, a fait un très bon résumé de la question, surtout à comparer les exigences requises pour devenir un bodybuilder de compétition par rapport à ceux qui préfèrent les jeux vidéo, de fumer des pétards entre «amis» ou d’être accro à Facebook ? Je pense que chaque parent devrait plutôt vouloir que son enfant sache «travailler dur», être «discipliné(e)» et «concentré» que d’être paresseux, perdu, asthénique et inquiet quant à savoir s’il pourrait manquer un important message Facebook de l’un de ses amis de « pacotille » en ligne.

Le coût social à être un bodybuilder…

Bodybuilding culturisme avec Francis BenfattoLes chercheurs n’ont pas encore mis en évidence les coûts sociaux de la vie d’un culturiste passionné. « Thor » comme l’un des participants de l’étude est nommé, par exemple, déclare:

« Le régime, [sic!] est une chose réellement égoïste, la dernière fois que j’étais en régime strict, je me suis assis pour manger du riz et du poulet à la fête d’anniversaire de mon fils alors que les autres mangeaient du gâteau. Ma famille m’a dit (pas la mienne mais celle de ma femme) qu’ils se sentent un peu mis à l’écart. » (Thor) Et avec cet autre exemple, nous présentons une autre partie de la stigmatisation: Le culturiste asocial et le mauvais père.

Un mauvais père ? Je n’en serais pas si sûr. Après tout, il est aussi plus préoccupé par sa santé que la moyenne des « papas gâteau » (private joke du traducteur); non pas qu’il le fait pour aller contre les « autres » mais parce qu’il pratique ce qu’il prêche (du moins pour lui-même). En réalité, l’une des conclusions importantes de l’étude était que « les participants qui ont décrit l’utilisation de diverses substances […] savaient gérer leur consommation de ces substances« , de manière appropriée – tout comme Olaf qui avait dit avoir été interrogé sur les risques qui sont impliqués dans l’utilisation de stéroïdes:

«J’ai fait un [un bilan de santé] tout à l’heure, juste avant une compétition, et puis j’ai reçu un message me demandant de venir bientôt pour savoir si une substance qui aurait pu affecter les reins avait été réduite. Donc, vous avez un peu de contrôle et je n’ai pas vraiment de choses négatives à dire à ce sujet « . (Olav)

Est-ce que le fait d’être « extra-ordinaire » représente le véritable problème ?

Kevin Levrone bodybuildingEn ce qui concerne la situation en Europe, Henry, un participant à l’étude, affirme qu’il croit que le véritable problème que les gens ont avec lui, c’est qu’il n’est pas dans la «moyenne»:

« C’est assez bizarre, en quelque sorte, lorsque vous êtes au-dessus de la moyenne ici en Norvège, les gens se disent: mais pour qui se prend t-il ? c’est totalement différent des États-Unis. Les gens sont impressionnés, ils viennent vers vous, ils veulent vous prendre en photos et vous dire bonjour. Mais ici… ils pensent que vous êtes comme ça pour vous montrer. » (Henry)

J’imagine que la plupart de ceux qui sont à l’Olympia auront eu ou vu d’autres personnes ayant eu des expériences similaires. Ici, soit vous prenez des photos avec les « big guys » ou alors, vous êtes demandé pour être pris en photos, autant à Olympia que la semaine suivante, de retour au bureau, alors que vos collègues s’interrogent secrètement sur ​​votre « étrange Tupperware »…

Et quand vous ignorez ce verbiage et décidez de vous asseoir avec eux, qu’est-ce qui se passe ? Probablement quelque chose comme ce que Xavier décrit ici:

«[…] Quand vous sortez, ou partout où je vais, ou celui que je rencontre, il finit inévitablement par aborder la question du physique dans les 5-10 minutes. Ça devient assez lassant, c’est comme si on pensait tout le temps au corps. Tout est centré sur le corps, rien sur ce que vous êtes en tant que personne. « (Xavier)

Après tout, l’étude de Bjørnestad et al. a constaté que plusieurs de leurs «informateurs» (c’est comme ça qu’ils les appellent) ont partagé cette expérience et ont estimés que cela était «très pénible» et même pénible de constater comment certains se focalisent sur ​​leur corps, pour se plaindre ensuite de ce qu’ils sont, comme ceux qui parlent tout le temps de culture physique.

« Alors, cela ne vaut-il pas la peine ? »

Je suppose que la question de savoir « si ça vaut le coup » (quoi que cela puisse signifier) n’est pas une question à laquelle je peux répondre pour vous. C’est une question que vous aurez à vous poser à vous-même et c’est aussi pour cela que la question ne fait pas partie du sujet de fond.

Si vous regardez les choses de plus près, vous réaliserez aussi que le problème repose en fait sur un ensemble de questions comme de savoir si vous voulez faire confiance à la sagesse commune du bodybuilding et de vous rendre dans une salle surpeuplée en fin d’après-midi, bien que vous pourriez aussi bien vous entraîner le matin, jusqu’à la question précédemment posée du gâteau d’anniversaire de vos enfants, alors que vous ne pouvez pas manger, parce que vous êtes en  » semaine de régime » (ce qui signifie que vous avez seulement une semaine avant le prochain concours pour vous préparer).

Une implication mentale et physique qui vous pousse à être en forme…

Bodybuilding old schoolEt tandis que le premier point peut vous sembler évident, le dernier d’entre eux risque de faire réfléchir tous le monde, à savoir si ces quelques minutes de gloire en valent vraiment la peine. C’est possible, si vous vous sentez comme Blade, qui précise:

« Vous vous sentez sur le toit du monde, c’est quelque chose de vraiment unique, peut-être qu’il s’agit de la même sensation que ceux qui deviennent champion olympique au sprint. Vous le sentez, vous le voyez vous-même, vous vous sentez si impliqué mentalement et physiquement… C’est tellement agréable si vous êtes en forme. Aucun autre sentiment ne peut rivaliser avec cela, c’est tellement grand. » (Blade)

il est possible que vous décidiez que ça vaut le coup. Et même si, personnellement, je pense le contraire, je respecte la décision de « Blade ».

Vous avez mon plus profond respect. Je comprends le courage qu’il faut pour se rendre sur scène et – plus encore – d’y rester et c’est pourquoi je veux terminer ce post sur un des conseils qui peuvent être utiles pour les concurrents et les amateurs de la fonte: Ne pas faire la même erreur que « Blade » – ne jamais souscrire à une déclaration comme celle-ci: «Le corps est ce que je suis, le corps ne peut pas mentir. » (Blade). C’est exactement ce que les autres pensent que vous êtes: un corps musclé et rien d’autre. Ce qui peut être encore plus important, c’est que cette attitude va vous laisser sans espoir et perdu, quand un jour ce corps ne sera plus conforme avec vos propres normes.

Une question de temps, de patience et de travail acharné caractérise le bodybuilder qui réussit à tenir ses objectifs

A propos de normes et de vos attentes: Si vous décidez de ne pas aligner l’ensemble de votre vie sur ce seul objectif, ne pensez pas que vous n’avez pas fait le bon choix en termes de macronutriments, que vous avez pris les mauvais suppléments ou que votre entraînement du matin au lieu de l’après-midi seront les seuls responsables de votre peu peu de ressemblance à M. Olympia. Ce qui vous manque n’est pas un nouveau supplément, un plan de nutrition ou un nouveau programme d’entraînement. Il s’agit plutôt de dix ans de travail acharné et de difficultés, d’années plus ou moins fructueuses en tentatives à équilibrer les parties de votre corps les plus faibles vers vos points forts, de plusieurs mois de régime et d’entraînements disciplinés où chacune de vos pensées seront dirigées vers ce seul but: être dans la forme de votre vie lorsque vous monterez sur scène.

Références:

  • Bird SP, Tarpenning KM. Influence of circadian time structure on acute hormonal responses to a single bout of heavy-resistance exercise in weight-trained men. Chronobiol Int. 2004 Jan;21(1):131-46.
  • Mousavizadeh M. et al. Influence of a single bout of circuit weight training on cortisol in the morning and evening. Pelagia Research Library. European Journal of Experimental Biology, 2013, 3(2):367-370
  • Sani SMT, et al. The Effect of Morning and Evening Weight Training in the Humeral Immunity of Bodybuilders. International Journal of Sport Studies. Vol., 3 (6), 611-616, 2013.
  • West DW, Phillips SM. Associations of exercise-induced hormone profiles and gains in strength and hypertrophy in a large cohort after weight training. Eur J Appl Physiol. 2012 Jul;112(7):2693-702.

Mes commentaires: A vrai dire, j’apprécie d’autant plus cet article qu’il nous donne un éclairage différent de ce que peut représenter la passion de la culture physique dans certains pays européens alors que cet aspect devra sommes toutes être un peu relativisé en fonction du tempérament de chacun. De toutes manière, la passion, d’où qu’elle vienne, quoi qu’elle nous pousse à faire et quel que soit le but vers lequel elle tend, n’est pas maîtrisable sur le plan rationnel et ne le sera jamais. Mais que serions nous sans passion ?? Sans doute pas grand chose…

Mine de rien, je vous épargne ici 30 pages sur  l’autre de mes passions, celle de la psychanalyse, mais si ça vous intéresse, rien ne vous empêche de relire mes deux articles rédigés à ce sujet (liens donnés ci-dessus) ainsi que la page « Une question d’Harmonie » qui explique précisément ce qu’il en est de la quête de la « forme » – ou plutôt des formes inhérentes à la culture physique elle-même, selon mon point de vue. Et même si j’ai l’impression que l’illustration motivée des valeurs défendues par les participants à cette étude sont légitimes, j’ai tendance à croire que nous réagissons parfois bien différemment quant à ce rapport social athlètes/sédentaires car si le sport du muscle pour lui-même est effectivement une passion, elle s’exprime d’abord sur le plan personnel.

Quant à moi d’ailleurs, j’ai très peu d’états d’âme pour qui que ce soit et je ne me préoccupe jamais de l’opinion du quidam même si je reste ouvert à la discussion. Je renseignerais volontiers quiconque m’interroge sur ma pratique sportive ou le monde des compléments alimentaires si on me pose des questions en toute honnêteté. Dans le cas contraire, je réagis comme n’importe qui, je n’oblige personne à m’adresser la parole, encore moi à me fréquenter C’est une perte de temps facilement évitable pour ceux et celles qui pourront m’éviter la stupidité de leurs réflexions ou les clichés qu’ils ont dans le crâne.

Mais d’ici là, n’oubliez pas de développer votre culture physique, c’est encore la meilleure chose que nous puissions faire…

Eric Mallet

A propos de l'auteur

Passionné et pratiquant de la musculation depuis près de 28 ans, je me suis toujours intéressé au développement des ergogènes et de la nutrition sportive. Diplômé des universités Lille 3 et Paris 7, je travaille actuellement sur la rédaction de plusieurs ouvrages dont la sublimation par la culture physique et la musculation sur le plan psychanalytique. Consultant dans le domaine des compléments alimentaires, j'accompagne les entreprises dans le développement de leur stratégie de vente et de communication en matière de nutrition sportive. Espace Corps Esprit Forme est à considérer comme un blog de vulgarisation scientifique, destiné à aider les athlètes tout en leurs donnant des informations scientifiques utiles à leur pratique des sports de force.

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