Nous voici déjà arrivé au sixième article de la série « Comprendre la croissance musculaire » de la SuppVersity d’Adel Moussa. Ici, nous entrons dans le vif du sujet, du moins pour ceux qui pensent que la croissance musculaire se résume plus ou moins au taux de testostérone que leur organisme peut produire ou supporter. Les trois traductions d’articles suivants prouveront surtout que la réalité est (un brin !) plus complexe que ce raccourci (très large) de pensée.
Eric Mallet
Dans les épisodes précédents de la série d’articles « Comprendre la Croissance Musculaire », nous avions parlé de choses très intéressantes telles que les mTOR, la myostatine, les variantes d’épissage de l’IGF et de sujets encore plus exotiques. La testostérone, le « Big T » – le supposé plus important contributeur à l’hypertrophie du muscle squelettique, a jusqu’ici été « négligé » – dépendait-il du principe de garder le meilleur pour la fin quant à l’influence de la testostérone sur le renforcement musculaire comme développé sur le premier article ? Était-ce l’ignorance ? De la stupidité ? Ou est-ce que je voulais commencer la nouvelle année avec un Big Tang… ah désolé « bang » ? La réponse est simple, c’est que j’en éprouvais tout simplement une crainte.
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