Un extrait végétal inhibe l’œstradiol via le récepteur arylhydrocarboné

Prunella vulgaris pour réduire l'oestradiol et les oestrogènesIl y a de cela quelques temps, nous vous avions parlé des extraits anti-oestrogéniques de la plante tropicale Brassaiopsis glomerulata. Il s’agit d’ailleurs d’un végétal qui a fait son chemin dans le monde des suppléments de la musculation et dans Triazole de DS Sport en particulier. Le Triazole contient également un extrait végétal du Prunella vulgaris, une plante que l’on retrouve partout en Europe. A ce sujet, c’est en 2009 que des chercheurs américains spécialisés dans le cancer ont publié une étude sur des cellules et des animaux dans laquelle ils ont étudié le fonctionnement de ces substances.

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La Withaférine A, un anti-œstrogène (et peut-être aussi un anabolisant) de l’Ashwagandha

Ashwagandha renferme des molécules actives de withaférineSelon des études cliniques ou sur l’animal – principalement sponsorisées -, la supplémentation en Ashwagandha  augmenterait les niveaux de testostérone et stimulerait le développement du tissu musculaire. Les chercheurs de l’Institut du cancer de l’Université de Pittsburgh pourraient avoir découvert en 2011 comment l’Ashwagandha peut produire ces effets sur l’organisme. Leurs recherches mettent en évidence l’activité pharmacologique de la withaférine A, un ingrédient actif important de l’Ashwagandha.

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Le géranylgéraniol pourrait-il stimuler la testostérone ?

Ultra test complément alimentaire à base de géranylgéraniolLe géranylgéraniol serait une nouvelle molécule « anti-âge » dont nous ne savons presque rien, si ce n’est qu’Antaeus Labs, une marque de compléments alimentaires américaine, l’a intégré dans son complément pro-testostérone UltraTest. Et maintenant que nous avons lu l’étude japonaise in vitro et sur les animaux parue dans Bioscience, Biotechnology, and Biochemistry en 2018, nous pensons qu’UltraTest pourrait réellement fonctionner.

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La lutéoline du persil stimulerait la testostérone

La lutéoline est un flavonoïde présent dans le persil et la céleri. Elle permettrait d’augmenter la production de testostérone par les testicules. A ce sujet, des chimistes canadiens de l’université de Moncton ont publié une étude in vitro dans Cell Biology and Toxicology. Cette étude présenterait un intérêt particulier pour l’industrie des suppléments et des compléments alimentaires. Note EM: Cette remarque est assez improbable étant donné la biodisponibilité particulièrement faible de ces antioxydants. C’est ce que nous avions vu avec l’apigénine.

L’étude canadienne sur la lutéoline

Les Canadiens ont exposé des cellules de testicules MA-10 {Note EM: Cellules de Leydig tumorales de souris} à divers flavonoïdes dans des tubes à essai. Puis, ils ont mesuré leur effet sur la production d’hormones stéroïdiennes. Le plus prometteur était la lutéoline, un flavonoïde similaire à la quercétine. C’est pourquoi, dans cet article, nous ne considérerons pas les autres flavonoïdes étudiés.

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Une augmentation significative de la testostérone avec ActivaTe Xtreme de DS Sports

Activate Xtreme de DS SportsJe connaissais ActivaTe Xtreme de DS Sports mais c’est un complément que je n’avais jamais testé. Je m’étais d’ailleurs renseigné depuis longtemps le rapport testostérone/SHBG et testostérone libre mais ce n’est pas ce complément qui m’avait mis sur la voie pour formuler le Virilis V1 de Yam Nutrition. Cela étant, il est assez rare qu’un « booster » de testostérone soit étudié sur le plan scientifique, cela arrive d’ailleurs souvent par accident comme le relate cet article. Parfois, il arrive aussi qu’une marque se décide à réfléchir réellement à la manière dont il serait possible d’augmenter le métabolisme de cette hormone clé chez l’être humain.

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L’ail et ses effets sur l’anabolisme musculaire

Ail stimulerait la synthèse de testostérone chez l'homme

Image Karolina Grabowska

Avec cet article, je reviens sur la question de l’ail et autres condiments apparentés car il nous donne quelques indications sur la manière dont l’ail, et sa substance active, le disulfure de diallyle, influence la libération de testostérone. Il y a plusieurs années de cela, j’avais mis en ligne un article similaire sur l’oignon. J’avais été très étonné par les réactions qui suivirent cet article. Certains lecteurs avaient été jusqu’à se faire un jus d’oignon quotidien. Pour ma part, je ne pense pas qu’il faille aller jusqu’à ce genre d’extrémités gustatives pour espérer gagner quelques pourcentages sans doute peu significatif de testostérone. Toujours est-il que cet article de 2001 publié dans The Journal of Nutrition qui m’avait échappé à l’époque, nous explique un peu plus le mécanisme sous-jacent à cette stimulation – sans doute assez modeste – de vos androgènes.

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