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Quercétine, naringénine, naringine, trois flavonoïdes anti-œstrogéniques des agrumes

Les écorces d’agrumes contiennent les flavonoïdes quercétine, naringénine et naringine. Ces trois substances auraient un effet anti-estrogénique. Un effet anti-estrogénique multiple, devrait-on dire en fait…

Structures moléculaires de flavonoïdes naringénine quercétine

L’étude de chercheurs égyptiens sur les flavonoïdes

Des pharmacologues égyptiens affirment dans Scientific Reports qu’ils ont injecté à des souris un type de cellule cancéreuse sensible à l’œstradiol. Après que les cellules se soient transformées en tumeurs, les chercheurs ont injecté une dose quotidienne de quercétine, de naringine ou de naringénine dans l’intestin grêle des souris pendant 7 jours.

Lors d’autres expériences, qu’ils ont également décrites dans cet article, les Égyptiens avaient déterminé que la quercétine, la naringine et la naringénine étaient les trois inhibiteurs d’aromatase les plus puissants qu’ils pouvaient trouver dans les agrumes.

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Voici comment un flavonoïde du persil pourrait stimuler la testostérone

Les flavonoïdes du persil stimulent la libération de testostéroneLes légumes de tous les jours, tels que le céleri, les oignons et le persil, contiennent des substances renforçant la testostérone qui, à mesure que nous vieillissons, empêchent la diminution de synthèse de la testostérone. Du moins, c’est ce qu’ont découvert des chercheurs de la Texas Tech University. Dans le Journal of Nutritional Biochemistry, ils décrivent les expériences qu’ils ont menées avec l’apigénine, un flavonoïde stimulant de la testostérone assez prometteur, que l’on trouve en grande quantité dans le persil.

Vieillissement et testostérone

Les chercheurs de Texas Tech travaillent sur les moyens de réduire les dommages causés par le processus de vieillissement, ce qui inclut la recherche de techniques permettant de réduire la baisse du taux de testostérone chez les hommes âgés.

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L’orange est-il un fruit longévité ?

Jus d'orange source d'antioxydants

La marque Innocent commercialise du jus d’orange. Je pense qu’ils ont vu juste :-)

Il se pourrait très bien que les oranges aient un effet prolongateur sur l’espérance de vie. Les scientifiques chinois spécialisés en nutrition de l’Université technologique de Chine du Sud l’écrivent dans Molecules. Ces chercheurs ont réalisé des expériences avec le nématode Caenorhabditis elegans, un organisme et modèle type de la recherche anti-âge.

L’étude sur l’orange et ses flavonoïdes

Les chercheurs ont acheté des oranges au supermarché et les ont utilisées comme matières premières pour faire leurs extraits. Ensuite, ils ont placé ces extraits à différentes concentrations dans le milieu de culture de leurs nématodes. Puis, ils ont déterminé combien de temps les animaux pouvaient vivre. Le tableau ci-dessous montre les substances contenues dans les extraits selon la CLHP.

La plupart de ces composés seront probablement familiers aux lecteurs d’Ergo-log. Note EM: On y retrouve en effet de l’acide férulique, de l’hespéridine, de la naringénine, de la sinensétine, de la nobilétine, de la rutine et d’autres encore.

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La fisétine, le facteur longévité du concombre, facilite la disparition des cellules sénescentes

Le concombre est une source de fisétineDes aliments de tous les jours comme le thé, les oignons, les pommes et les concombres contiennent de la fisétine. C’est un flavonoïde semblable à la quercétine. Selon des expériences que des chercheurs de l’American Scripps Research Institute ont publiées dans EBioMedicine, la fisétine pourrait prolonger la vie. Cet antioxydant éliminerait les cellules sénescentes et empêcherait les tissus de mal fonctionner en raison de l’accumulation de cellules en décomposition.

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La naringénine, flavonoïde du pamplemousse, aide les muscles à absorber le glucose

La naringénine est un flavonoïde du pamplemousseLa naringénine est un flavonoïde présent dans le pamplemousse. La plupart des lecteurs d’Ergo-log la reconnaîtront comme la substance qui sabote l’absorption du glucose dans les cellules de graisse. {Biochem Biophys Res Commun. 30 mai 2003 ; 305(2):229-34.} Ce flavonoïde du pamplemousse stimule l’absorption du glucose dans les cellules musculaires. C’est ce qu’écrivent des chercheurs de l’Université Brock au Canada, dans Biochemical and Biophysical Research Communications.

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