Les plus de 65 ans cherchant à optimiser leurs chances de survie devraient maintenir des concentrations de DHEA, de testostérone et d’IGF-1 élevé dans leur organisme. Ceci est d’ailleurs suggéré par une étude épidémiologique que les chercheurs italiens de l’Université de Parme ont publié en 2007 dans les Archives of Internal Medicine.
L’étude scientifique sur les taux d’hormones endogènes
Les chercheurs ont suivi 410 hommes âgé de 65 à 92 ans pendant 6 ans. Juste avant le début de l’étude scientifique, ils ont mesuré la concentration de DHEA-S, de la testostérone biodisponible et de l’IGF 1 présent dans le sang des sujets de l’expérience.
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