Selon une étude animale et cellulaire que les endocrinologues de l’Université Stanford ont publié dans la revue Endocrinology, la forme active de la vitamine D – le calcitriol [formule développée ci-dessous] – est un anti-œstrogène. L’étude est également intéressante pour les bodybuilders, car l’effet anti-œstrogénique de la vitamine D est exprimé principalement dans le tissu adipeux. De plus, la vitamine D augmenterait l’effet des anti-œstrogènes comme l’Anastrozole, le Létrozole et l’Exemestane.
Recherches sur la prévention et le traitement du cancer du sein en rapport avec la vitamine D

Le calcitriol – vitamine D active
Les chercheurs voulaient savoir si des changements alimentaires pouvaient réduire le risque de cancer du sein chez les femmes et améliorer les chances de traitement chez celles qui en ont déjà un. L’estradiol permet souvent aux cellules de cancer du sein de se développer plus rapidement. Dans ce cas, les médecins traitent le cancer du sein avec des médicaments qui réduisent la concentration d’estradiol. Les chercheurs savaient déjà que la vitamine D bloquait la production du récepteur alpha–estradiol et se demandaient si la vitamine D réduisait également la production d’estradiol lui-même. Cela se produirait en inhibant l’enzyme aromatase, qui convertit l’androstènedione et la testostérone en estradiol.
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