Des chercheurs espagnols spécialisés dans le domaine du vieillissement de l’Université de Valence auraient peut-être découvert un gène qui pourrait expliquer pourquoi certaines personnes dépassent l’âge de 100 ans tout en restant en bonne santé. Ce gène est appelé Bcl-xL. Il existe maintenant des douzaines d’études in vitro et animales qui suggèrent que de nombreux aliments permettraient à ce gène de s’exprimer plus fréquemment. Note: Le gène Bcl-xL fait partie de la famille des gènes anti-apoptotiques Bcl-2.
24 - 05
2018
3 acides aminés et du sélénium pour prévenir la dégénérescence musculaire liée à l’âge ?
Une supplémentation en sélénium et en acides aminés cystine, glycine et glutamine préviendrait la dégradation musculaire liée à l’âge chez des animaux de laboratoire, concluent les chercheurs de l’Université de médecine et de sciences Charles R. Drew. Faut-il le croire ou non ? Les résultats semblent trop beaux pour être vrais, même pour une étude animale…
En savoir plus »05 - 05
2018
Les besoins en protéines des plus de 65 ans seraient bien supérieurs à ce que vous pensez qu’ils sont…
Quantifier les besoins en protéines est un sujet particulièrement sensible dans le milieu de la nutrition sportive (ou de la nutrition tout court). C’est une matière qui fait sans doute débat depuis l’invention du tube à essai et du premier haltère ou du moins, depuis que l’on théorise sur le domaine très complexe de l’hypertrophie musculaire. A ce sujet, je reviendrai vers vous d’ici samedi ou dimanche pour vous faire part d’un article de synthèse particulièrement intéressant de Jäger et de ses renommés collègues sur ce sujet.
En savoir plus »27 - 03
2018
Votre âge pourrait déterminer l’effet des sports de force sur votre corps
L’entraînement des sports de force est aujourd’hui considéré comme un médicament anti-âge efficace mais il ne fonctionnerait pas aussi bien pour tous les aspects du vieillissement. C’est du moins ce qu’affirme une étude publiée dans JCI Insight par des scientifiques du sport anglais de l’Université de Nottingham. Leur étude suggère que les adeptes de la recherche scientifique de l’anti-âge les plus sérieux qui profitent de l’entraînement de résistance et des sports de force pour rester jeunes devraient également se servir d’autres outils – probablement un régime alimentaire adapté, du cardio-training, et éventuellement des suppléments.
En savoir plus »14 - 01
2018
Une heure de sommeil en plus = 12% de testostérone en plus !
Le déclin de la testostérone des hommes âgés serait en grande partie dû au fait que les hommes qui prennent de l’âge dorment moins bien que les plus jeunes d’entre eux. Les endocrinologues de l’Université nationale de Singapour sont parvenus à cette conclusion après avoir étudié 531 hommes chinois âgés de 29 à 72 ans. Les chercheurs ont mesuré la quantité de l’hormone mâle présente dans le sang des hommes le matin et leur ont posé des questions sur leur vie sexuelle et leur sommeil.
En savoir plus »28 - 11
2017
Récupération et surentraînement après 40 ans, Partie II, les nutriments !
Au cours du premier article sur la récupération et le surentraînement après 40 ans, j’ai commencé par évoquer quelques évidences de terrain et de rappeler quelques éléments pratiques, sans aborder totalement la question des nutriments qui pourraient favoriser une récupération plus rapide après des entraînements intenses de musculation ou de cardiotraining. Question un peu difficile à évaluer de prime abord, la recherche scientifique commence pourtant à nous donner quelques pistes sérieuses sur les nutriments et molécules qui favoriseraient la performance sportive et le maintien de la masse musculaire chez les athlètes qui commencent à prendre de l’âge. Évidemment, la fatigue et le temps de récupération post-exercices seront toujours plus élevés chez les plus de 40 ans que pour les athlètes de 20 ans et moins, et pour plusieurs raisons évidentes:
En savoir plus »07 - 11
2017
Stratégie pour la longévité: Gardez un taux de DHEA, testostérone et IGF 1 élevé
Les plus de 65 ans cherchant à optimiser leurs chances de survie devraient maintenir des concentrations de DHEA, de testostérone et d’IGF-1 élevé dans leur organisme. Ceci est d’ailleurs suggéré par une étude épidémiologique que les chercheurs italiens de l’Université de Parme ont publié en 2007 dans les Archives of Internal Medicine.
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2017