Le végétal Cistus incanus pousserait abondamment en méditerranée. Vous pouvez même vous servir de ses feuilles pour en faire du thé. En boire trois tasses par jour pourrait améliorer l’équilibre de votre cholestérol et réduirait aussi le stress oxydatif quotidien.

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Si vous faites beaucoup d’exercice une fois arrivé à la quarantaine et même à la cinquantaine, vous en récolterez encore les fruits un quart de siècle plus tard. Du moins, c’est ce qu’ont découvert des chercheurs finlandais de l’hôpital municipal d’Oulu en réalisant une étude épidémiologique sur plus de 500 hommes. Les Finlandais ont découvert qu’un mode de vie actif à l’âge moyen réduisait la probabilité de perte de muscles, d’énergie et de force une fois arrivé à un âge avancé.

Selon les données in vitro et animales, l’AKG serait un supplément nutritionnel favorisant la longévité pouvant tenir ses promesses. Une étude humaine réelle, bien que menée sans groupe de contrôle, va dans le même sens. Note EM: AKG, ici pour alpha-cétoglutarate de calcium.

Une supplémentation en acide orthosilicique, une forme de silicium facilement absorbable, pourrait aider à prévenir la fragilisation des cheveux. C’est ce qui ressort d’une étude humaine qui a duré pas moins de neuf mois et qui a été publiée dans les Archives of Dermatological Research en 2007.

Je vous avais précédemment proposé un article sur mon expérience personnelle avec le nicotinamide riboside et la forme mononucléotide de ce complément alimentaire en 2019. Le temps a passé et le marché a évolué positivement. Les consommateurs sont désormais plus nombreux, la demande a augmenté et les fournisseurs aussi. Le NMN devient enfin abordable pour chacun, même si le prix est encore assez élevé dans l’absolu. Il est cependant désormais possible de trouver des marques de compléments alimentaires qui vous propose du NMN de bonne qualité nutritionnelle, testé par un laboratoire indépendant, dosé à 500 mg/capsule pour environ 50 à 60€ la boite, ce qui il y a même pas dix ans était encore inenvisageable.

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Au plus vous consommez d’aliments transformés qui ont été préparés par l’industrie alimentaire – et non par vous-même – au plus vous risquez de développer un cancer. Du moins, c’est ce que concluent des épidémiologistes français dans une étude statistique publiée dans le BMJ.