
Le politicus vulgaris, un freluquet tant médiocre sur le plan physique qu’intellectuel qui se veut particulièrement nuisible au monde sportif (image Werner Pfennig, pexels.com)
Disons qu’en plein délire confinatoire ponctué d’interrogations légitimes sur la santé mentale des politiques, personnages particulièrement inutiles, nuisibles, pervers et couteux pour la société; j’ai pensé qu’il serait peut-être bon de vous parler de psychologie essentielle de l’exercice. Les salles de sport étant fermées, nous sommes de plus en plus nombreux à pratiquer la musculation à la maison. Cependant, cette pratique sportive réalisée chez soi diffère grandement d’une pratique d’exercices en salle comme nous allons le voir en détails. De là, vous redonner quelques éléments essentiels de psychologie sportive pourra certainement vous aider à maintenir votre motivation à faire de la musculation à la maison.
Plus généralement et de mon point de vue de chercheur, la psychologie du sport et de l’exercice est indissociablement liée à la psychologie du corps, un domaine encore trop vaguement étudié par la psychanalyse, du moins jusqu’à présent. Cependant, la psychologie en relation au corps fait l’objet de recherches approfondies depuis des décennies sur le plan de la psychiatrie, même bien avant Freud. Les deux grands domaines généraux de la psychopathologie que sont les névroses et les psychoses sont d’ailleurs étroitement liés à la thématique du corps, en témoigne les troubles pathologiques de l’hystérie, des complexes, de la phobie, de la paranoïa ou de la schizophrénie par exemple. Jusqu’ici, je ne vous apprends rien.
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