20 - 03
2019
Je vous avais laissé avec la transcription de la conférence de Liz Parrish en plein milieu de son discours. J’étais un peu obligé de le faire car l’article devenait particulièrement long. Voici donc les 20 dernières minutes de transcription de cette conférence très étonnante sur la longévité et les perspectives futures sur le vieillissement sain et en bonne santé de l’être humain. Cette deuxième partie est sans doute encore plus étonnante que la première. Ici, Elizabeth Parrish nous informe des moyens que nous aurons bientôt pour vieillir en bonne santé. Si vous n’avez pas lu la première partie, je vous invite à le faire dès maintenant…
Eric Mallet
Mais comment faisons-nous pour déterminer la durée de vie de l’être humain alors qu’il peut vivre jusqu’à plus de 80 ans ? La raison pour laquelle nous faisons des recherches sur les souris, c’est qu’elles ont une durée de vie très courte et que cela devient particulièrement évident lorsque nous augmentons leur longévité. Nous pouvons examiner les marqueurs prédictifs du vieillissement biologique. Donc, ici, au milieu de la ligne rouge, la courbe descendante correspond à la courbe de la mortalité, avec différentes personnes en rapport à différentes trajectoires de vieillissement. Donc, tout le monde ne vieillit pas de manière biologique au même rythme.
Certains d’entre nous sont biologiquement plus vieux qu’ils ne le sont pour un même âge. C’est très intéressant et ce que nous devons faire est, de manière assez basique, de remettre la science au centre de toute cette affaire. Nous devons comprendre et en réalité, développer des biomarqueurs prédictifs du vieillissement biologique et je suis ici pour vous dire qu’ils n’existent pas à l’heure actuelle.
Sur notre plateforme, nous voudrions mettre en place de nouvelles entreprises qui travaillent sur les marqueurs du vieillissement pour constater à quel points ils sont précis dans le temps avec nos produits et actuellement nous étudions environ 70000 points d’informations chez les patients afin d’analyser ce qu’ils font et comment ils le font. Quand vous vous rendez chez le médecin et que vous avez 75 ans et que votre médecin vous dit: « Oh, vous avez l’air d’être en bonne santé » et qu’il vous renvoie chez vous, en réalité, vous n’êtes pas en bonne santé à 75 ans parce que c’est actuellement une impossibilité physique. Donc, ce que nous devons faire est de mieux comprendre ce que veut dire être en bonne santé.
La longueur des télomères n’est pas un élément prédictif exact du vieillissement biologique en bonne santé
Certains sujets dont nous avions discuté par le passé concerne la longueur des télomères. C’est précisément cela qui nous permet de dire à quel point une personne est âgée sur le plan biologique. Mais en réalité, ce n’est pas exact car lorsque les télomères raccourcissent, cela peut nous donner un indice prédictif sur le temps qui vous reste avant que vous contractiez une maladie mais à vrai dire, les télomères peuvent rester petit sur une période de temps significativement longue. Et alors que la science progresse et que nous utilisons les outils que nous nous sommes donnés, ou nos découvertes, de manière à ce que nous puissions constater ces éléments biologiques, nous pouvons maintenant utiliser ces outils afin de vraiment examiner en profondeur les éléments qui se présentent à nos yeux quand nous parlons de vieillissement biologique.
Et donc, les prérequis nécessaires à l’établissement de ces biomarqueurs devraient être prédictifs sur le plan de la fonction physiologique, cognitive et physique de manière plus efficace que l’âge chronologique. Ils devraient aussi être prédictifs du nombre d’années restantes d’un fonctionnement métabolique correct pour un individu. C’est sur ce point précis que nous rencontrons le plus de difficultés en ce moment. Ils devraient être invasifs au minimum et financièrement accessibles aux individus. A nouveau, je ne pense pas que la santé devrait coûter de l’argent. Je pense que nous devons réaliser qu’en ayant des personnes en bonne santé, nous pourrions économiser une quantité énorme d’argent et donc, d’économiser de nombreuses ressources. Ces biomarqueurs du vieillissement devrait être plus que de simples facteurs de risque et devraient être à même de représenter le niveau global de santé général de l’individu.
Donc les trois types de marqueurs que nous étudions actuellement sont les profils de méthylation, le protéome et la longueur des télomères (niveau moléculaire). Au niveau clinique, il s’agit du Vo2 Max et du C-Pex (test d’exercice cardiopulmonaire) et au niveau physiologique, il s’agit de l’imagerie MRI et du rapport des graisses viscérales. Ces informations se révèlent plutôt significatives sur le niveau de santé mais à nouveau, il se trouve qu’il est particulièrement difficile d’obtenir des biomarqueurs fiables quant à votre âge biologique. Nous pouvons juste dire si vous êtes en bonne santé ou non, pour une partie de votre corps mais probablement pas de manière globale. Donc, ce sur quoi nous portons nos efforts est le multiomics (Note EM: Approche d’analyse biologique où les ensembles de données sont définis à partir des multiples « omes » comme le génome, le protéome, le transcriptome, l’épigénome, l’exposome et le microbiome) et le nombre d’omes que nous pouvons définir à partir d’une personne.
Vous pourriez penser que nous avons résolu le problème, excepté qu’aussi vastes que sont ces omes, ils ne sont pas compris. Mais cela ne veut pas dire que nous devrions les laisser ensemble car ils sont de mieux en mieux compris avec le temps. Ils nous aideront réellement à bâtir le profil de la santé type qui nous aidera à obtenir des développements futurs. Et la raison pour laquelle nous pouvons faire cela, c’est parce que le coût du séquençage génomique s’est effondré de manière significative. Rappelez-vous que vous ne pouvez pas seulement acheter votre séquence génomique mais que vous pouvez aussi étudier votre microbiome et tout une myriade d’autres informations fantastiques à propos de votre santé à notre époque !
Et alors que notre compréhension du génome augmente, notre capacité à l’altérer et à l’éditer augmente en parallèle. Donc, avec la compréhension, nous agissons encore plus vite. La bio-informatique est ce sur quoi notre entreprise travaille en ce moment. Nous travaillons sur l’accélération du développement de médicaments afin qu’ils puissent vous servir plus rapidement et certains des autres marqueurs que nous étudions: profil épigénétique, mutations, niveau de NAD+ qui est très « tendance » en ce moment… Et en particulier en ce qui concerne la vascularisation de l’organisme, l’analyse de sang, la longueur des télomères, les marqueurs de la sénescence, l’activité de réparation de l’ADN, et la capacité de guérison. Celui-ci en particulier est intéressant parce que nous ne voulons certainement pas vous blesser en attendant que vous guérissiez.
Une des idées vraiment uniques sur laquelle nous travaillons actuellement consiste à comprendre comment prendre la cellule d’un patient et d’accélérer le vieillissement d’une de ces cellules pour connaitre le type de maladies dont vous pourriez mourir dans le futur. Il s’agit à vrai dire d’un processus particulièrement passionnant et très intéressant. Les résultats que nous en obtenons nous permettent d’obtenir une véritable médecine personnalisée. Dès à présent, la thérapie génique est transférée sur notre plateforme PAP (Personalized and Precision Medicine), des gènes dont nous pouvons tirer partie…
Mais alors que nous nous portons de plus en plus vers le futur, nous savons que certaines personnes ont des gènes qui semblent bénéfiques à une espérance de vie plus longue. Nous savons que certaines familles comportent des personnes qui vivent très longtemps, ce qui n’est pas le cas pour la mienne, et c’est la raison pour laquelle nous voudrions bénéficier d’une médecine de précision afin que chaque personne puisse bénéficier de son potentiel le plus élevé. Donc, cela commence avec le diagnostic et le prognostic et à nouveau, il s’agit du point sur lequel je ne peux insister plus encore. Ces données s’avèrent tout particulièrement importantes. L’expérimentation personnalisée, c’est à ce niveau que se prépare la culture cellulaire de manière à améliorer la longévité de la cellule et de découvrir ce que vos facteurs de risques pourraient représenter et bien sûr, le traitement personnalisé. Mais nous ne réalisons pas ces process dans l’ordre en réalité parce que nous pensons que nous ne pouvons pas attendre que chaque sujet soit en place mais de toute manière, les données humaines sont les plus importantes et nous devons absolument les obtenir pour en arriver là.
Je discutais avec Parker un peu plus tôt et nous évoquions la montagne qui se dresse devant nous actuellement et les progrès que nous avons réalisés jusqu’à présent, et de la montagne vers laquelle nous voulions nous rendre. En réalité, personne n’a vraiment envie de traverser la vallée de la mort ensemble. A vrai dire, nous n’y allons pas, à moins de passer à travers cette vallée. Nous devons être à même d’agir. Nous devons réaliser que maintenant, nous avons un risque de mortalité de 100%. Et de manière à nous rendre de l’autre côté, en tant qu’être humain, nous devons tous faire partie de l’expérience. Nous allons tous devoir devenir un élément actif, mené par la foi, même s’il s’agit d’être motivé par une foi personnelle, de manière à obtenir ces données biologiques. Aujourd’hui, le système de santé intégré, les entreprises avec lesquelles nous travaillons, connaissent un nombre incalculable de personnes qui ont un besoin urgent de traitements.
La science va aujourd’hui très loin sur la compréhension du vieillissement en bonne santé
Et c’est vraiment une chose fantastique parce que cela nous donne accès à une masse imposante de données. Cependant, nous voudrions replacer ces thérapies géniques vers la médecine de prévention parce que c’est à ce niveau que se joue la réelle économie de soin. Lorsque nous utilisons cette médecine préventive, et que vous ne tombez pas malade au départ, c’est là que vous observez la véritable force des thérapies. Donc, aujourd’hui, il y a 425 thérapies géniques en cours d’évaluation clinique, ainsi que 533 thérapies cellulaires en cours d’évaluation. C’est une très bonne nouvelle pour chacun mais même à l’état d’essai clinique, cela ne veut pas dire que ces thérapies vous profiteront directement et de manière très rapide. Cela veut dire qu’il faudra vraiment se retrousser les manches pour que cela puisse s’ouvrir à la médecine expérimentale afin que chacun puisse y avoir accès alors que l’ingénierie tissulaire se situe sans doute entre la cellule et la thérapie génique. Donc, comment Bioviva se procure t-elle des informations sur l’être humain ? Je veux dire de manière significative et efficace. Comment pouvons-nous vous aider ?
Nous pouvons aider avec des essais cliniques adaptatifs en nous assurant que les bons patients reçoivent les bonnes thérapeutiques. En faisant ceci, nous minimisons les effets de buzz, de bruits et de déchets dans le système; en nous assurant que les résultats soient les plus pertinents possibles. Rappelez-vous que nous ne sommes pas ici pour valider n’importe quel médicament en particulier mais que nous sommes là pour constater s’ils fonctionnent ou pas.
Et donc, les préalables nécessaires à une thérapeutique idéale commenceraient par l’obtention d’une sécurité d’informations chez les animaux, même si nous savons que parfois nous ne pouvons l’obtenir mais de bénéficier de sources de données sur la toxicologie est particulièrement important pour faire progresser les thérapeutiques plus en avant. Et d’obtenir une efficacité affirmée chez l’être humain est bien mieux encore. Maintenant nous intervenons pour donner à l’homme le droit d’accéder aux thérapeutiques car nous croyons qu’il s’agit d’un droit de l’homme et qu’aucun gouvernement ne devrait vous passer au dessus de la tête pour vous interdire de faire exactement ce que vous voulez de votre corps. Nous voudrions faire en sorte de moduler les multiples biomarqueurs de l’âge en une seule fois. Les biomarqueurs du vieillissement que je vous ai montré, si nous pouvons en maîtriser plus d’un, nous en serons stupéfaits. Si nous pouvons juste en maitriser un seul, cela sera déjà très bien parce que nous étudions actuellement les thérapies communes que vous prendrez.
Les effets préventifs, nous en avons déjà parlé. Nous voudrions établir ces thérapeutiques dans le cadre de la médecine préventive. Il existe des similarités avec l’immunisation et la thérapie génique est très similaire avec l’immunisation. Bien-sûr, ralentir le vieillissement est un marché de plusieurs milliards de dollars, très clairement, mais d’inverser le vieillissement biologique est l’objectif réel; de créer des thérapies géniques qui régénèrent la cellule plus rapidement qu’elle ne se dégrade et nous avons de très bonnes preuves que nous pouvons le faire avec ce que nous avons maintenant et avec le temps, ces thérapies vont encore s’améliorer.
iPSCs: induced pluripotent stem cells
A nouveau, nous avons ici les diagnostics, les prognostics, l’expérimentation personnalisée, les thérapeutiques personnalisées et la plateforme de médecine réparatrice. Et je voulais vous présenter ce graphique car nous bénéficions d’un temps limité mais il s’agit en fait d’une recette pour le succès. C’est une recette qui vous permet de comprendre comment nous nous obtenons de nouveaux médicaments avec les essais cliniques sur l’être humain et comment nous obtiendrons de meilleures informations médicales que nous ne pourrions le faire avec un organisme de régulation parce que lorsque vous passez par ces organismes, la plupart des entreprises peuvent cacher leurs données.
Bien… Qui suis-je et pourquoi vous dirais-je que vous devriez envisager une thérapie génique ? En 2015, pour lancer l’entreprise, j’ai commencé par considérer deux des thérapies géniques qui présentaient le plus de promesses pour l’humanité et je suis heureuse de dire que nous avons prouvé leur sécurité, ce qui est déjà formidable et que celle-ci montre également de l’efficacité. Une des thérapies que j’ai entrepris est celle de l’allongement des télomères; elle fait montre de grandes promesses. C’est la seule thérapie qui inverse le vieillissement biologique chez des modèles animaux. En réalité, elle s’attaque à de nombreux biomarqueurs du vieillissement. Alors pourquoi est-ce que je n’ai pas l’air d’avoir 20 ans ? Parce que la biologie est un domaine avec lequel il est très très compliqué de travailler.
Les thérapies géniques sont l’un des espoirs les plus sérieux d’un vieillissement sain et sans maladies handicapantes
Avec certaines thérapies géniques, nous devons seulement cibler quelques cellules de l’organisme et nous nous retrouvons devant ce que nous appelons une protéine partagée (shared-protein), une protéine qui part du sang pour être partagée dans le corps entier. C’est précisément la thérapie de droite, l’inhibiteur de myostatine. Celle-ci augmente votre masse musculaire et pour tout dire, sa sécurité d’utilisation et d’efficacité a déjà été prouvée aux USA. C’est la seconde thérapie génique que j’ai pris. Mais la thérapie d’induction de la télomérase doit être activée dans chaque cellule; elle n’est pas partagée parmi vos cellules. Nous ne connaissons pas le nombre de cellules ciblées dans mon organisme mais nous pouvons le savoir à partir des effets obtenus que nous avons ciblé entre 20 et 30% de celles-ci.
Au niveau des données elles-mêmes. Nous avons obtenu des résultats concrets sur l’augmentation des télomères et dans ce cas, nous avons utilisé le même laboratoire et les mêmes tests de manière à réduire le niveau d’inexactitude de nos propres tests.
Nous avons constaté une augmentation de la masse musculaire ainsi qu’une baisse de la graisse musculaire, ce qui est déjà fantastique. Nous n’avons pas scanné l’ensemble de mon corps mais nous n’avons trouvé aucune trace de cancer. Nous avons effectué de nombreux tests à ce sujet. Les tests sont généralement caractérisés comme « risque élevé » ou « risque faible » et je présente un risque faible pour chacun d’entre eux.
Au niveau des biomarqueurs sanguins, nous avons constaté une réduction d’un facteur 6 des protéines C-réactives, un signe d’inflammation. Si mon taux de protéines C-réactives était élevé ou si nous avions une indication de cancer ou un problème immunitaire quelconque, nous n’en constatons en réalité aucun parce qu’il étaient extrêmement bas et normal quand nous avions commencé. A nouveau, il ne s’agit que de quelque-uns des tests de cancer, des informations qui nous sont également données par ma famille ou le risque est très peu élevé.
Nous avons observé une réduction de 25% du taux de glucose sanguin. Et donc, quand nous prenons de la masse musculaire, ce qui est excellent, c’est que l’on ne se sent pas seulement plus fort et plus « indépendant » quand vous prenez de l’âge mais cela va aussi à l’encontre de ce que nous appelons les désordres métaboliques. il s’agit de maladies comme le diabète de type II par exemple. Vous augmentez la masse musculaire et vous réduisez la présence des graisses intramusculaires et intra-organiques. Votre corps devient alors plus sensible à l’insuline. Et mon HbA1C (Note EM: hémoglobyne glyquée) est également excellent pour mon âge. Nous avons également constaté une baisse des triglycérides de 50%, ce qui est synonyme d’une meilleure santé cardiovasculaire.
Ces biomarqueurs sont restés peu élevés de manière constante et c’est une découverte particulièrement encourageante. Je me souviens qu’un médecin en Californie avait mes données médicales en main, il m’a presque embrassé quand il a constaté les premiers changements sur mes biomarqueurs. Et je lui ai demandé « mais pourquoi cette accolade ? » et il m’a répondu, votre taux de glucose sanguin a baissé, votre métabolisme fonctionne mieux, ce sont les premiers changement que nous constatons à partir de la thérapie et c’est particulièrement encourageant. Autant que nous puissions l’imaginer, au niveau des dommages cellulaires, nous n’avons pas observé de détérioration au niveau du foie. C’est une crainte que nous avions, étant donné le niveau élevé de vecteurs viraux que j’ai pris. Nous n’avons pas non plus observé de dommages cérébraux ni au niveau des reins.
Notre objectif ultime est la santé. Et je pense que nous pouvons aller encore bien plus loin que cela. Je pense que nous pouvons commencer à observer d’autres espèces avec la technologie. N’avez-vous jamais été faire de la plongée en apnée pour observer des poissons qui changeaient de couleurs ? Je pense qu’en tant qu’êtres humains, nous avons le potentiel d’être sans limites, mais je dois bien dire que la santé est le premier endroit où nous devons commencer et avant de nous rendre sur les rivages de la longévité extrême, nous devons prouver que nous pouvons le faire… Nous devons donc trouver ces médicaments et nous sommes la plateforme idéale pour les rechercher. La W.H.O (l’Organisation Mondiale de la Santé – OMS) définit la santé de cette manière: « La santé est un état de bien-être physique, mental et social et non pas simplement l’absence de maladie ou d’infirmité ». Mais qui se rangerait derrière cette définition aujourd’hui ? Nous voudrions rendre l’OMS responsable de cette définition et aider le monde à y accéder…
Note EM: La suite de la conférence se poursuit par des questions. Je vous invite à visionner la vidéo en anglais si cela vous intéresse. Quant à moi, je ne peux qu’être impressionné par la volonté incroyable de Liz Parrish et son combat pour la santé et la longévité. J’espère que vous l’êtes aussi ! J’aurais l’occasion de revenir sur les travaux exceptionnels d’Elizabeth Parrish mais pour la prochaine transcription, nous retournerons du côté de Gabrielle Lyon et de Rhonda Patrick, ainsi que de d’Athlean X, entre autres… Mais d’ici là, assurez-vous de développez votre culture physique !
Eric Mallet
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