Les spécialistes de la condition physique, bodybuilders et autres athlètes de force pourraient récupérer plus rapidement de leurs entrainements s’ils prenaient des probiotiques avec leur protéine. Cette découverte a été faite par des chercheurs de l’organisation privée de recherche Increnovo et de l’Université de Tampa. Ils ont utilisé la bactérie Bacillus coagulans GBO-30, 6086 au cours de leur étude. Cette bactérie est déjà présente sur le marché.
En savoir plus »07 - 02
2017
Les utilisateurs de stéroïdes anabolisants endommagent leur équilibre hormonal définitivement, malgré la PCT
Les utilisateurs de stéroïdes anabolisants endommageraient leur équilibre hormonal de manière irrémédiable après plusieurs années d’utilisation, comme les endocrinologistes de l’Université de Copenhague l’ont découvert. Cette étude soulève des questions, à savoir si la PCT (Post Cycle Therapy) après une cure de stéroïdes aurait quelques intérêts.
En savoir plus »02 - 02
2017
Petite histoire des secrétagogues de l’hormone de croissance
En termes d’anabolisme musculaire, la recherche scientifique a pris coutume de distinguer la capacité anabolisante d’une molécule avec la quantité d’emmerdes qu’elle pourra vous occasionner en rapport à une référence bien connue qui est celle de la testostérone. Pour les compléments alimentaires cependant, il n’y a aucune crainte à avoir mais quelques doutes cependant lorsqu’il s’agit du premier point. Cela dit, lorsqu’il s’agit des sécrétagogues de la somatropine, le calcul sera quelque peu différent, pour l’insuline également.
En savoir plus »29 - 01
2017
Le GABA inhibe la graisse corporelle avec une meilleure sensibilité cellulaire à l’insuline
Un complément d’acide gamma-aminobutyrique [GABA] peut se trouver dans presque tous les boutiques, notamment sur le Web. Le GABA, neurotransmetteur issu de l’acide glutamique, favoriserait le sommeil et est un stimulant de l’hormone de croissance reconnu par la recherche scientifique. Mais il pourrait peut-être aussi aider les obèses à rester en bonne santé. Selon des chercheurs de l’Université de Californie de Los Angeles, le GABA inhiberait l’augmentation des réserves de graisse qui se produira si vous mangez plus de calories que vous n’en brûlez. C’est parce que la molécule de GABA rendrait vos cellules plus sensibles à l’insuline.
En savoir plus »18 - 01
2017
2 semaines de vitamine D3 : Plus mince, moins de fatigue, tension artérielle et cortisol diminués
Donnez à un groupe de personnes en bonne santé 50 microgrammes de vitamine D3 tous les jours pendant deux semaines et leur endurance pourrait augmenter de manière significative. Ils sentiront moins la fatigue lors de l’exercice tout en couvrant plus de distance. Leur pression artérielle diminuera, tout comme la concentration de cortisol de leur organisme. Des chercheurs écossais de l’Université Queen Margaret l’ont relaté dans Therapeutic Advances in Endocrinology and Metabolism en août 2016.
15 - 01
2017
7,12 g de Leucine par jour réduirait la perte de muscle chez les personnes âgées
Alors que nous vieillissons, nous perdons progressivement de la masse musculaire, c’est la sarcopénie. Comment et pourquoi le processus de vieillissement entraîne la réduction de cette masse de muscles, les scientifiques ne savent toujours pas exactement pourquoi. Mais peut-être savent-ils maintenant comment arrêter, sinon freiner le processus. En effet, la première chose à faire serait de vous assurer que vous prenez suffisamment de L-Leucine en consommant des aliments riches en protéines chaque jour. Selon le nutritionniste australien Cameron Keith McDonald, une dose quotidienne de 7,12 g de Leucine serait suffisante pour arrêter la perte musculaire liée à l’âge.
En savoir plus »12 - 01
2017
Les effets secondaires d’un régime hyperprotéiné sont négligeables
Un régime hyperprotéiné – habituellement un régime alimentaire riche en protéines animales – ne présente pas de danger pour la santé. C’est d’autant plus vrai si vous avez un mode de vie sain, ne fumez pas, que vous faites suffisamment d’exercices et que vous présentez un poids normal. Dans ce cas, un régime riche en protéines n’est absolument pas malsain. Les épidémiologistes de l’Université de Harvard ont publié les résultats de leur étude statistique dans le numéro d’octobre 2016 de JAMA Internal Medicine.
En savoir plus »01 - 01
2017