La vitamine B5 est impliquée dans la production de testostérone

Vitamine B5 ou acide pantothénique

La vitamine B5 ou acide pantothénique

La vitamine B5 – ou acide pantothénique  – serait impliquée dans la production de testostérone comme les chercheurs à l’université de Gifu au Japon l’ont découvert. L’étude sur les animaux qu’ils ont réalisé montre que le niveau de testostérone diminue s’il y a trop peu de vitamine B5 dans l’organisme. Dans ce cas, un supplément de vitamine B5 pourrait-il stimuler le taux de testostérone ? C’est peut-être le cas…

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Les effets du nicotinamide riboside sur les cellules musculaires

Structure moléculaire du nicotinamide riboside

Le nicotinamide riboside

Les cellules musculaires dépensent plus dénergie et brûlent plus de graisse lorsquon leur donne du nicotinamide riboside, un analogue de la vitamine B3. Cette affirmation nous est suggérée par une étude animale que des chercheurs de l’École Polytechnique Fédérale de Lausanne en Suisse ont publié dans Cell Metabolism. Selon cette étude, le nicotinamide riboside ne serait pas seulement une aide minceur potentielle, mais il s’avère qu’elle pourrait aussi être un complément alimentaire sportif avantageux après 40 ans, un supplément qui pourrait protéger contre le diabète et peutêtre plus encore

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L’effet anabolisant de la tomatidine contre celui de l’acide ursolique

Structure moléculaire de la tomatidine

Tomatidine

Sujet d’étude qui pourrait nous sembler un peu curieux sinon fantaisiste, les recherches scientifiques récentes sur la tomatidine, une molécule à structure stéroïde et végétale ainsi que l’acide ursolique, extrait du thym, du romarin, de la pomme ou des pruneaux viennent d’être comparés. Dotés de réels effets de recomposition corporelle, contrairement à certains acides gras comme le CLA dont le potentiel est beaucoup plus faible, il s’agit sans aucun doute de molécules extraites des végétaux qui n’ont pas fini de faire parler d’elles. En fonction des découvertes récentes, le sujet n’a plus grand chose à voir avec une fantaisie. Les marques américaines ont d’ailleurs lancé les premiers suppléments associant ces deux molécules naturelles sur le marché. Aujourd’hui, il existe pourtant peu de marques de compléments alimentaires qui se basent sur ces deux molécules malheureusement. C’est surtout le cas pour les extraits de tomate car leur concentration par kilo de tomate est extrêmement faible.

Eric Mallet

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Des nutriments pour vos mitochondries et gagner de l’endurance

Endurance et mitochondriesPrenez ces quelques substances: acide alpha-lipoïque, acétyl-L-Carnitine, biotine, vitamines B2, B3 et B6, créatine, Coenzyme Q10, resvératrol et taurine. Mettez-les tous ensemble dans une capsule et vous obtenez un supplément qui aidera probablement les sportifs à gagner plus d’endurance pour atteindre de meilleures performances athlétiques.

Des rats ont reçu les quantités suivantes de nutriments par kilo de poids corporel chaque jour: 50 mg d’acide R-alpha-lipoïque, 100 mg d’acétyl-L-Carnitine, 0,1 mg de biotine, 15 mg de nicotinamide [vitamine B3], 6 mg de riboflavine [vitamine B2] 6 mg de pyridoxine [vitamine B6], 50 mg de créatine, 5 mg de coenzyme Q10, 5 mg de resvératrol et 100 mg de taurine.

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La caféine augmenterait la perte des graisses APRES l’entraînement

Après un entraînement intensif, le corps dépensera plus d’énergie. Pour cette raison, les chercheurs pensent que la musculation pourrait aider un grand nombre de personnes à maintenir un poids de corps sain. De là, ils ont étudié les moyens d’augmenter l’effet d’after-burn. L’une de ces méthodes consiste à consommer de la caféine avant de lever de la fonte, comme les scientifiques du sport de la California State University l’ont montré.

Le phénomène EPOC

café et caféine, un des premiers ergogènes de l'histoire des hommesAprès une séance d’entraînement intense, les cellules musculaires devront récupérer rapidement. Ils auront besoin de reconstituer leurs réserves de phosphocréatine et de glycogène. ici, nous ne parlons pas encore de la réparation des protéines musculaires endommagées, même si ce processus coûte aussi de l’énergie. Les chercheurs mesurent cette dépense énergétique augmentée en mesurant la consommation d’oxygène.

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Comprendre la croissance musculaire: IGF-1 et ses variantes épissées MGF, IGF-IEa & Co – Des régulateurs majeurs ou de simples rouages du mécanisme de l’hypertrophie musculaire ?

Nous entrons ici dans le vif du sujet après avoir lu l’introduction de la SuppVersity en trois parties. Cette fois-ci, Adel Moussa nous apporte un peu plus d’informations, notamment sur l’IGF-1 et les épissages de ce facteur de croissance comme le MGF et les autres. Sont-ils véritablement les déclencheurs de l’hypertrophie ou ne seraient-ils finalement « que » des éléments essentiels à la croissance parmi d’autres ? Pour ceux qui n’auraient pas suivi cette première série d’articles, référez-vous à la Partie I, la Partie II et la Partie III de l’article Comprendre la croissance musculaire.

Eric Mallet

Le MGF (Mechanical Growth Factor) est une variante de l'epissage de l'IGF-1

Image 1: Sur l’IGF-1 et ses variantes issues de l’épissage comme le MGF, il existe sans doute 100 fois plus de « Bro-science » que de données scientifiques solides – ça ne va pas vraiment nous aider car nous ne savons jamais dire si toute cette science de comptoir se repose vraiment sur des données vérifiables ou non.

Compte tenu du fait que nous n’avons pas couvert beaucoup de terrain au cours du dernier article (mais nous avons sans doute construit une base assez solide toutefois ;-), je vais essayer de faire de mon mieux pour orienter un cours intermédiaire entre la présentation d’une quantité impressionnante de faits et de vous expliquer la complexité et les bases physiologiques de l’hypertrophie du muscle squelettique qui, en partie ne sont même pas complètement élucidés ou, comme vos partenaires de salle le dirait, de devenir massif et volumineux ! A ce propos, vous aurez sans aucun doute lu sur l’une des myriades de bavardages des forums et autres bulletins du bodybuilding que – l’injection de X quantités d’IGF-1 droit dans le muscle vous donnera des bras énormes ou quel que soit le pseudonyme de l’affiche, « que vous allez gagner 8 à 9 centimètres en 2 semaines »… Ok, la photo de profil semble impressionnante, mais est-ce vraiment crédible ? L’IGF-1 a-t-elle vraiment de tels effets sur la croissance musculaire ? Et de quel type de croissance parlons-nous ici ? S’agit-il d’une « montée en flèche » des facteurs de myostatine négatifs du muscle, ce qui vous laisserait avec des domaines myogéniques surdimensionnés et des muscles dysfonctionnels ? Note EM: Autrement dit, comment avoir des bras de 60 cm de diamètre pour faire des curls barre à 40 kg ?!

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