
Myostatine en 3D Image PHYMEDEXP Université de Montpellier
Des pharmaciens avaient demandé l’arrêt de la recherche sur la première génération d’inhibiteurs de la myostatine. Ils seraient efficaces, mais les stéroïdes et l’hormone de croissance fonctionneraient mieux. C’est pourquoi les gourous du dopage ont jeté leur dévolu sur les inhibiteurs de la myostatine par thérapie génique. Des chercheurs de l’université de Pennsylvanie travaillent sur ces derniers et ont dépassé le stade des tests sur les souris et les rats.
En 2000, des chercheurs américains ont publié les résultats d’une étude animale dans laquelle ils avaient manipulé génétiquement des souris afin que leurs cellules se mettent à produire de la myostatine dominante-négative [dnMS]. [La myostatine dominante-négative désactive la myostatine normale, qui inhibe la croissance musculaire. Résultat: cette intervention a rendu les souris plus musclées.
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